Robert PASCAL Compositeur
Vidéos
« Conférence de Beauvoir » 19 juin 2016
présentation et écoute de :
Robert Pascal « So fern »
Robert Pascal « Concordance des temps »
Robert Pascal « Dulwan nimindi »
Robert Pascal « Poème de pluie d'avril (première des 3 poésies d'Outre-mer) »
Extrait de « Calme illimité » :
Extrait de « d'un souffle ardent » :
Vous pourrez trouver d'autres vidéos - et audios - dans les présentations des œuvres.
Bibliographie
Textes écrits par Robert PASCAL
Le nombre dans la composition musicale au XXème siècle
in Musique & Mathématiques
ALEA – GRAME 1997
Ecriture musicale informatique
in Actes musicaux 1993
GRAME 1993
Le point de vue d’un compositeur
in Marsyas n° 5, dossier « Ecole, ouvre-toi ! »
Institut de pédagogie musicale, La Villette 1988
Vers un geste musical
in Marsyas n° 2, dossier « Analyse et pratiques musicales »
Institut de pédagogie musicale, La Villette 1987
Structure mathématique de groupe dans la composition musicale
in « Destin de l’Art, Desseins de la Sciences » actes du colloque
Université de Caen, 1986
Igor Stravinsky, Les Noces
Mémoire d’analyse
CNSMD de Lyon, 1984
Elvio Cipollone
Musiques sur les textes de Rilke : le projet Chants éloignés
Mémoire de D.E.A., Université Marc Bloch, Strasbourg 2000-2001
Etude autour d’un projet réalisé par le quintette Le Concert Impromptu, qui s’attache plus particulièrement à Souffles de Philippe Leroux, et Chants de l’humanité à jamais en équilibre de Robert Pascal.
Stéphanie Ferrat
AUBE
Recueil de poèmes "réalisé spécialement pour Chant d'aubes du compositeur Robert Pascal".
Documents écrits sur l'œuvre de Robert PASCAL
Presse
5 diapasons pour le CD monographique Aubes, sur la revue Diapason de novembre 2023.
Diapason, Novembre 2023
« Ce disque [Aubes] lui ressemble, éclectique autant qu'exigeant, ouvert sur le monde et en même temps concentré sur la rêverie, sur la poésie, que ce soit dans ses pièces instrumentales ou dans son inspiration vocale. »
Arnaud Merlin, dans "Le Concert du Soir" sur France Culture, le 31 août 2023
« [Les Terres fertiles] initie un tellurisme ouvert sur l’attente d’une révélation qui se dérobe pour mieux éclater au grand jour. Une lecture inquiète dans ses respirations impromptues jusqu’à l’improbable. Un rythme qui s’étire et s’étonne en sifflements et halètements confondus sur d’impatients ostinatos, sur des Terres de contrastes et d’insistances, en quête d’horizons en constante mutation … [Les Terres fertiles affirme] une « nécessité intérieure » selon le principe d’un Kandinsky. »
Roland Duclos, BackTrack (17 novembre 2018)
« Xi ling (2012) de Robert Pascal, sur un poème chinois du VIIIe siècle, commence par un surgissement sonore, façon tsunami ou tremblement de terre profonde, le déploiement d’un espace avec quelques dimensions de plus que celui dont nous sommes familiers. La voix y déferle, infiniment; les nuages sur la montagne, l’eau, les arbres, l’oiseau qui s’envole et la mémoire des choses anciennes bouclent et rebouclent sur la rive d’une méditation sonore proche de l’illumination. »
Didier Lamare
« … une forte partition contemporaine, celle de Robert Pascal (So fern, si loin…) »
Alain Vildart, La Nouvelle République.fr, Blois (12 janvier 2017)
« Ce qui est original et magnifiquement conduit, c’est l’idée de faire passer – comme au travers d’une plaie vive de l’humain ou de la toile – une sonde vers le fond du temps, et d’en ramener, au hasard (calculé, malgré tout ? mais la nature calcule-t-elle ?) des clichés furtifs sur les couches successives du corps ou de la géologie terrestre, de la géographie mémorielle. »
Dominique Dubreuil, plumart.com (avril 2005), à propos de Déchirure d’un temps plissé
« C’est une pièce intéressante, utilisant la caractéristique de notre temps musical : la recherche du «son» pour lui-même, dans un eventail d’effets bien orchestrés entre les cordes. Le résultat est spectaculaire tout en demeurant agréable. »
La Nouvelle République du Centre-Ouest (16 novembre 1998), à propos de Mille Regretz
« écriture tantôt rigoureuse, tantôt charmeuse de Robert Pascal »
Dominique Dubreuil, L’Extraordinaire, Lyon (mai 1995)
« Il y eut aussi, en début de concert, un moment magique. Celui d’une musique enregistrée et d’un violoncelle. Chant d’aubes de Robert Pascal… »
Nicole Michalon, le Progrès (8 avril 1995)
« Le programme interprété à l’Embarcadère a surtout été dominé par deux œuvres. Chant d’aubes pour violoncelle et dispositif sonore, apparaît comme une sorte de dialogue entre l’archet de Stéphane Genay, remarquable, et un espace musical à la fois serein et tourmenté, dans un jeu de miroirs très séduisant. »
A. Mafra, le Progrès (29 mars 1995)
« une création vive et subtile de R. Pascal »
Dominique Dubreuil, L’Extraordinaire, Lyon (mai 1994), à propos de Dentelle du cygne
« Quant au Conte fantastique de Robert Pascal, il est, dans sa pure originalité, un moment musicalement fort riche en toutes ses composantes : rythmique, harmonie, éléments mélodiques, inventions spécifiques (à noter un marimba principal d’une ardente difficulté), tout contribue à faire jaillir de l’ensemble des épisodes un onirisme qui mérite (qui impose) de nombreuses écoutes. »
Lucien Guérinel, le Méridional (27 janvier 1994)
« Une belle œuvre, fluide, traversée d’une pulsation lente »
Michel Thion, Révolution, Lyon (avril 1993), à propos de Sinfonia di paradiso
« Le résultat est beau. Chant d’aubes, de Robert Pascal, amplifie la sonorité du violoncelle. »
Le Monde (24 décembre 1992), à propos de l’enregistrement « GRAME Musiques pour cordes » (Chant d’aubes)
« Expressives Parlando, Cluster, instrumentale Extreme und rhythmisch-metrische Raffinessen beherrschten das Klangbild dieser einsdrucksvollen Aufführung. »
« Parlando expressif, clusters, extrêmes instrumentaux et subtilités rythmiques et métriques dominent le paysage sonore de cette réalisation impressionnante. »
Joachim Wormsbächer, Frankfurter Allgemeine Zeitung (17 août 1989), à propos de … par cette ligne blanche …
« … sans oublier, bien sûr, le prix spécial, botte secrète destinée à saluer un coup de cœur et qui, cette année, revient de droit à Robert Pascal. Sans ses Lamentations de Jérémie, le livre du Festival aurait perdu l’une de ses plus belles pages. »
Christian Riquelme, Est Républicain (18 septembre 1988)
« [Claire-Marie Mille] désirait une œuvre permettant à plusieurs chœurs de travailler – séparément puis ensemble – pour aboutir à une représentation commune. Les Lamentations de Jérémie ont été astucieusement utilisées dans ce but à la fois pédagogique et musical. Cette œuvre d’une grande profondeur et celle de Messiaen marquent avec bonheur l’entrée de chœurs amateurs «sérieux» dans le programme du festival. »
Le Progrès du Jura (14 septembre 1988)
« œuvre chaleureuse et mûre »
Claude Fabert, Le Monde (13 septembre 1988), à propos des Lamentations de Jérémie
« La création des Lamentations de Jérémie de Robert Pascal […] une œuvre toute en poésie, suffisamment rigoureuse dans l’écriture pour être prise au sérieux, mais qui sait parler au cœur autant qu’à l’esprit. »
Jean-Pierre Govignaux, Est Républicain (13 septembre 1988)
« Une œuvre contemporaine difficile, mais exaltante »
C. R., Est Républicain, (17 août 1988), à propos des Lamentations de Jérémie
« … un élève de composition du Conservatoire Supérieur de Lyon, qui est brillamment doué, a déjà écrit d’autres musiques, vigoureuses et personnelles, dont il faudra bientôt reparler. »
Philippe Andriot, à propos de Passages