top of page

Robert PASCAL  Compositeur

bandeauPresse 95.jpg

photo Michel Jouve

ph

haut

[Les Terres fertiles] initie un tellurisme ouvert sur l’attente d’une révélation qui se dérobe pour mieux éclater au grand jour. Une lecture inquiète dans ses respirations impromptues jusqu’à l’improbable. Un rythme qui s’étire et s’étonne en sifflements et halètements confondus sur d’impatients ostinatos, sur des Terres de contrastes et d’insistances, en quête d’horizons en constante mutation …  [Les Terres fertiles affirme] une « nécessité intérieure » selon le principe d’un Kandinsky.

Roland Duclos, BackTrack (17 novembre 2018)

« Xi ling (2012) de Robert Pascal, sur un poème chinois du VIIIe siècle, commence par un surgissement sonore, façon tsunami ou tremblement de terre profonde, le déploiement d’un espace avec quelques dimensions de plus que celui dont nous sommes familiers. La voix y déferle, infiniment; les nuages sur la montagne, l’eau, les arbres, l’oiseau qui s’envole et la mémoire des choses anciennes bouclent et rebouclent sur la rive d’une méditation sonore proche de l’illumination. »

Didier Lamare



« … une forte partition contemporaine, celle de Robert Pascal (So fern, si loin…) »

Alain Vildart, La Nouvelle République.fr, Blois (12 janvier 2017)

 


« Ce qui est original et magnifiquement conduit, c’est l’idée de faire passer – comme au travers d’une plaie vive de l’humain ou de la toile – une sonde vers le fond du temps, et d’en ramener, au hasard (calculé, malgré tout ? mais la nature calcule-t-elle ?) des clichés furtifs sur les couches successives du corps ou de la géologie terrestre, de la géographie mémorielle. »

Dominique Dubreuil, plumart.com (avril 2005), à propos de Déchirure d’un temps plissé



« C’est une pièce intéressante, utilisant la caractéristique de notre temps musical : la recherche du «son» pour lui-même, dans un eventail d’effets bien orchestrés entre les cordes. Le résultat est spectaculaire tout en demeurant agréable. »

La Nouvelle République du Centre-Ouest (16 novembre 1998), à propos de Mille Regretz



«  écriture tantôt rigoureuse, tantôt charmeuse de Robert Pascal  »

Dominique Dubreuil, L’Extraordinaire, Lyon (mai 1995)

 


« Il y eut aussi, en début de concert, un moment magique. Celui d’une musique enregistrée et d’un violoncelle. Chant d’aubes de Robert Pascal… »

Nicole Michalon, le Progrès (8 avril 1995)



« Le programme interprété à l’Embarcadère a surtout été dominé par deux œuvres. Chant d’aubes pour violoncelle et dispositif sonore, apparaît comme une sorte de dialogue entre l’archet de Stéphane Genay, remarquable, et un espace musical à la fois serein et tourmenté, dans un jeu de miroirs très séduisant. »

A. Mafra, le Progrès (29 mars 1995)



«  une création vive et subtile de R. Pascal  »

Dominique Dubreuil, L’Extraordinaire, Lyon (mai 1994), à propos de Dentelle du cygne


 
« Quant au Conte fantastique de Robert Pascal, il est, dans sa pure originalité, un moment  musicalement fort riche en toutes ses composantes : rythmique, harmonie, éléments mélodiques, inventions spécifiques (à noter un marimba principal d’une ardente difficulté), tout contribue à faire jaillir de l’ensemble des épisodes un onirisme qui mérite (qui impose) de nombreuses écoutes. »

Lucien Guérinel, le Méridional (27 janvier 1994)



« Une belle œuvre, fluide, traversée d’une pulsation lente  »

Michel Thion, Révolution, Lyon (avril 1993), à propos de Sinfonia di paradiso



« Le résultat est beau. Chant d’aubes, de Robert Pascal, amplifie la sonorité du violoncelle. »

Le Monde (24 décembre 1992), à propos de l’enregistrement « GRAME Musiques pour cordes » (Chant d’aubes)



« Expressives Parlando, Cluster, instrumentale Extreme und rhythmisch-metrische Raffinessen beherrschten das Klangbild dieser einsdrucksvollen Aufführung. »
« Parlando expressif, clusters, extrêmes instrumentaux et subtilités rythmiques et métriques dominent le paysage sonore de cette réalisation impressionnante. »

Joachim Wormsbächer, Frankfurter Allgemeine Zeitung (17 août 1989), à propos de … par cette ligne blanche …



« … sans oublier, bien sûr, le prix spécial, botte secrète destinée à saluer un coup de cœur et qui, cette année, revient de droit à Robert Pascal. Sans ses Lamentations de Jérémie, le livre du Festival aurait perdu l’une de ses plus belles pages.  »

Christian Riquelme, Est Républicain (18 septembre 1988)


 
« [Claire-Marie Mille] désirait une œuvre permettant à plusieurs chœurs de travailler – séparément puis ensemble – pour aboutir à une représentation commune. Les Lamentations de Jérémie ont été astucieusement utilisées dans ce but à la fois pédagogique et musical. Cette œuvre d’une grande profondeur et celle de Messiaen marquent avec bonheur l’entrée de chœurs amateurs «sérieux» dans le programme du festival. »

Le Progrès du Jura (14 septembre 1988)



«  œuvre chaleureuse et mûre  »

Claude Fabert, Le Monde (13 septembre 1988), à propos des Lamentations de Jérémie


 
« La création des Lamentations de Jérémie de Robert Pascal […] une œuvre toute en poésie, suffisamment rigoureuse dans l’écriture pour être prise au sérieux, mais qui sait parler au cœur autant qu’à l’esprit. »

Jean-Pierre Govignaux, Est Républicain (13 septembre 1988)



« Une œuvre contemporaine difficile, mais exaltante »

C. R., Est Républicain, (17 août 1988), à propos des Lamentations de Jérémie



« … un élève de composition du Conservatoire Supérieur de Lyon, qui est brillamment doué, a déjà écrit d’autres musiques, vigoureuses et personnelles, dont il faudra bientôt reparler. »

Philippe Andriot, à propos de Passages

chronologique
Toutes catégories
0
••
1
bottom of page